travail de l'orfèvrerie et des dentelles , une véritable
école artistique, dont les principaux maîtres s'attachaient
à donner à leurs coqs une infinie variété,
tout en leur conservant une caractéristique spéciale
de leur talent personnel.
C'est ce qui ressort de l'important ouvrage de pièces d'horlogerie,
publié en 1712 par Daniel Marot, où l'auteur fait
ressortir le cachet particulier des coqs de chacun des grands
ciseleurs, tels que Pierre Bourdon, maître graveur à
Paris en 1705, - Gribelin, graveur né en France en 1662,
mort en Angleterre en 1733, - et quelques autres qui se sont tout
spécialement adonnés à l'exécution
des coqs de montres.
Néanmoins, malgré la variété inévitable
de coqs ayant chacun une individualité bien distincte,
lorsqu'on peut en examiner et en comparer un certain nombre, on
finit par établir entre eux des rapprochements, et par
les grouper en séries de types présentant
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CHAPITRE
LES
COQS DE MONTRES
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