argentés,
les autres dorés, et produisent encore un bel effet artistique.
Le troisième coffre de corsaire qui figure au Musée
est de la même forme que le précédent, et
également tout en fer. Une seule clef commande six pênes
à ressort, quatre à l'avant et deux latéraux.
A l'arrière, le couvercle est maintenu par trois forts
crampons. Les ressorts sont protégés par des bandes
de fer ouvragé, et tout l'ensemble est recouvert d'une
large plaque découpée et arrêtée par
quatre écrous.
De la même époque, très ancien cadenas de
bateau n° 258, de grandes dimensions, et serrure de coffre
à tige forgée (n° 259), offerts par M. Alexandre
Alvin
N° 274. - Couteau à secret, dont le jeu de la lame
est commandé par trois cadrans à aiguilles.
Quelques cuirasses (n° 501,502 et 503).
Des casques Louis XV et Louis XVI (n° 511 et 512).
N° 541 et 542. - Deux éperons du XVe siècle,
trouvés dans les grèves.
Des mors et des étriers remarquables, parmi lesquels citons
les n° 521, 523, 525, 532, 533, 537, 538 et 539, ces derniers
pour dames. La plupart de ces épaves du passé ont
été recueillies dans les grèves.
N° 616. - Hallebarde, fin du XVIIIe siècle, avec gland,
manche velours.
N° 607. - Couteau de chasse, fer poli, époque de
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LE
MUSEE
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