constructeurs;
certains, préférant se borner à toucher les
revenus n'entretinrent même pas les bâtiments de l'abbayes.
Le monastère ayant été de nouveau la
proie des flammes en 1564, il fallut un arrêt du Parlement
de Rouen pour contraindre l'abbé François Le Roux
d'Anort à faire les réparations.
Trente
ans plus tard, même incendie, même arrêt du
Parlement qui, cette fois, prescrivit la construction, à
l'usage du clocher, de la tour massive qui existait avant la construction
récente du clocher.
Pendant
les troubles de la Ligue, les abbés
défendirent la ville contre les surprises des Huguenots.
Un dramatique épisode auquel donna naissance la tentative
infructueuse faite en 1591, par Montgomery, pour s'introduire
dans l'abbaye par le Cellier, fit donner
le nom de ce partisan à cette salle basse de la Merveille.
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