À
la nuit tombante, la cavalcade sortit du manoir, suivie par les
archers et les soldats en bon ordre.
Maître Gueffès était de la partie.
Son souhait se trouvait, du reste, accompli. C'était une
véritable armée, une armée trois fois plus
forte qu'il ne fallait, selon toute apparence, pour réduire
les pauvres gens réfugiés à Tombelène.