Il
répondit pourtant résolument, dans toute la naïveté
de sa foi superstitieuse.
-Bonne fée, pardonnez-moi ! Je veux cinquante écus
nantais pour me marier avec Simonnette.
Et afin que la bonne fée ne lui jouât pas de mauvais
tour (en ceci les quatre Mathurin et les quatre Gothon l'auraient
hautement approuvé, ainsi que Simon Le Priol), il saisit
la fée, tout en lui témoignant le plus grand respect,
et la serra ferme.