qui
attire les âmes (1). Pour y aller, la route à suivre
est indiquée. Il y a ce
Ilustration
- Côté de la Merveille.
que
l'on appelle quemini montenses, les chemins montois, ou encore
les chemins du Paradis. Sur ces routes, les pèlerins se
reconnaissent à la coquille
1 Pierre
Herp , dominicain de Francfort , rapporte qu'en 1450 onze cents
enfants passèrent par cette ville se rendant au Mont-Saint-MicheI.
-- Un autre chroniqueur, Eikart de Wissernhourg, mentionne le
passage d'un nombre à peu près égal d'enfants
pèlerins ,à Krenssnack , en sept jours, durant l'hiver
de 1457, alors que le