vingtième
nous apportant, avec le parti en hauteur, les solutions bénédictines
de notre Moyen-Age réalisées en acier et en ciment.
Le fait est là. Entre la liberté des plans superposés
actuels et le magistral classicisme des Invalides, ceux du Mont
s'apparentent aux premiers marqués d'une originalité
d'autant plus durable, qu'oeuvre du Temps, elle s'est trouvée
certifiée par les apports de son histoire dix fois centenaire.
Nos plans du Mont sont les relevés de l'état où
se trouvait le monastère en 1875. Ce sont les derniers
des calques à travers lesquels se repère ce qui
fut, - ce qui fut détruit, incendié, renversé
puis refait ou redémoli.
Nous n'avons plus les parchemins originaux chargés des
indications premières du plan de l'église devant
en 1020 remplacer, après incendie, le sanctuaire
carolingien bâti à flanc de rocher, ni celui figurant
l'Ile et ses quatre points cardinaux